Originaire de Géorgie, ce jeune guitariste et chanteur de vingt-huit ans touche les racines même du blues country, en exprimant avec naturel toute la dualité historique de la culture afro-américaine.
Jontavious Willis a appris à chanter le gospel à l’église avec son grand-père avant de se passionner, à l’adolescence, pour Muddy Waters. Quelques années plus tard, il est repéré par Taj Mahal et Keb’ Mo’ qu’il accompagnera sur scène par la suite. Dans ses œuvres acoustiques héritées d’un lointain patrimoine africain, le sacré et le profane s’entrecroisent pour faire ressortir toute la rugosité rurale de sa terre natale. Avec lui, le blues est bien vivant !
La presse en parle...
" Adoubé par les grands noms du blues ancestral, dont Taj Mahal et Keb Mo’, Jontavious Willis n’en finit pas de surprendre par sa compréhension innée d’une forme d’expression séculaire. " RFI
" Sur les traces des grands anciens, mais avec des compositions personnelles et une énergie d’aujourd’hui. " JDS
